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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 10:26

FRANCOIS HOLLANDE S'ENGLUE DANS UNE FISCALITE D'AUSTERITE ET DE RIGUEUR, APRES QUE LE SENAT A MAJORITE SOCIALISTE S'EST ABSTENU, SUR LE PACTE DICTATORIAL BUDGETAIRE DE L'EUROPE, QUI NE DIT RIEN CONSENT ...

(relire cette article sur: www.avenir56.over-blog.net : Qui ne dit rien consent ...)


En signant l'abstention, le candidat du PS F.Hollande nous engage dans une rigueur, un austérité, une dictature, dont les peuples auront du mal à en supportées les consécences désastreuse dans leur vie courante. Comme pendant la crise de 1929, nous amllons dans ce sens, vers une Révolution, ou un troisième conflit mondial.

François Hollande n'a qu'un bâton de pellerin, c'est celui de la fiscalité, dans tout et pour tout on reconnaît bien là le conservatisme d'un vieux PS, qui n'a jamais su innover, réinstaurer une autre politique que celle que nous supportons depuis la dernière guerre.

 

Les ultra libéraux européen dont Hollande soutien "l'Economie de marché," nous ont conduits avec cette politique dans le mur de cette crise, ils en sont les instaurateurs sans l'avis des peuples, et comme en 1929, ne reconnaissant pas leurs erreurs, ils ne changeront pas de chemin, ils nous conduiront donc dans le cahos mondial, comme lors de la crise de 1929, qui elle s'était terminée par la seconde guerre Mondiale.

 

Il est consternant que tous ces gouvernant des gauches Européenne se laisse manipuler par les droite ultra libérales. Le capitaliste est en train de détruire "Les Humains" à coup de capitalisme qui n'en a jamais assez...

 

Il y a pourtant d'autres façons de sortir de cette crise, d'autres pays l'ont fait, san s'endetter, le Brésil, l'Equateur, l'Islande, l'année dernière, même la Belgique, a remboursées ces dettes sans aucun emprunt ... bien d'autres pays encore,  ont accepter de tourner le dos à cette politique destructrice de nos sociétés, s'en sont merveilleusement sortis, sans austérité ni rigueur, ave de plus une forte croissance.

Merksarkozy, sont comme Hitler en 1936, ils s'imaginent les entraîneurs de cette politique, qu'ils appliqueront jusqu'à notre mort s'en suive, à travers un immense conflit mondial, comme en 1939.

Hollande est un fiscaliste, mais la fiscalité modérée est indispensable, Sarkozy, qui a en 5 ans ajouté à notre vie quotidienne 51 taxes supplémentaires, si le candidat de gauche en ajoute sans supprimer les autres sarkozyennes, nous allons droit dans l'abîme. 

Hollande qui veut taxer les assurances vies, comme on taxe un patrimoine immobiler, envoient ainsi tous les petits porteurs investisseurs de L'assurance vie dans les choux... Voici une fois encore un candidat de gauche, UMPS. 

 

Je vous invite ici à prendre connaissance, de cet article paru dans la Tribune ... Qui dénote bien que Hollande n'a qu'un seul programme la fiscalité ... TROP DE FISCALITE TUE L'ECONOMIE...

 

NOUS RISQUONS DE NE JAMAIS VOIR LA CROISSANCE VENIR ...

 

  

 

Copyright Reuters
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latribune.fr avec AFP

François Hollande avait déclaré lundi soir vouloir soumettre l'assurance vie au régime commun de l'impôt sur le revenu. Une position de principe confirmée le lendemain par Michel Sapin. Ce jeudi, l'ancien ministre de l'Économie déclare au contraire que la fiscalité restera inchangée après huit ans de détention.

Si ce n'est pas une reculade, cela y ressemble. Lundi soir sur TF 1, interrogé par Laurence Ferrari sur la question spécifique de l'assurance-vie, François Hollande avait déclaré  qu'elle serait soumise au régime fiscal commun, c'est à dire l'impôt sur le revenu. Une déclaration confirmée le lendemain à la Tribune par Michel Sapin, en charge du projet du candidat PS. Ce jeudi, Michel Sapin a, au contraire, déclaré à l'AFP que le PS "n'envisage pas de modifier les modalités d'imposition des contrats d'assurance-vie détenus pendant plus de 8 ans". Certes, "François Hollande tient beaucoup à l'application du principe de justice fiscale qui est que les revenus du capital doivent être taxés comme les revenus du travail", dit l'ancien ministre de l'Economie.

Sanctionner les retraits avant huit ans de détention

"Mais ce principe doit être adapté à la spécificité de chacun des placements et de chacun des outils d'épargne. S'agissant de l'assurance-vie, il paraît légitime lorsque cet outil d'épargne est utilisé à court terme - moins de 8 ans - que le principe soit appliqué intégralement", a-t-il indiqué. Autrement dit, que les intérêts de ces placements soient soumis au barême de l'impôt sur le revenu, qui varie de 5,5% à 14%, 30% ou 41% actuellement selon les tranches d'imposition, voire de 45% et 75% si le PS introduisait ces deux taux supplémentaires. Cela ne concernerait que les nouveaux contrats, souligne Michel Sapin. Actuellement, les épargnants ont tout intérêt à conserver leur contrat d'assurance-vie pendant au moins 8 ans, période de détention à partir de laquelle la taxation des produits de ce placement est plus douce, à 7,5%. Un retrait avant quatre ans de détention s'accompagne d'une taxation de 35%, qui baisse à 15% entre 4 et 8 ans.

Or ces derniers mois, beaucoup d'assurés ont ponctionné leur contrat avant terme. Selon la Fédération française des sociétés d'assurance (FFSA), 74% des rachats effectués sont partiels et 48% du total des retraits sont liés à un besoin de consommation.

Une épargne longue au delà de huit ans

"Au-delà de 8 ans, il s'agit d'une épargne longue, qui est utile à un grand nombre de Français et utile au financement de l'économie française, et compte tenu de cette spécificité, François Hollande ne propose pas de modification des modalités d'imposition", affirme aujourd'hui Michel Sapin .C'est-à-dire qu'au-delà de 8 années de détention, les intérêts continueront d'être taxés à hauteur de 7,5% pour toutes les personnes imposables et que l'abattement de 4.600 euros par personne sera conservé.  "L'assurance-vie sera soumise au barème de l'impôt sur le revenu" avait indiqué lundi à La Tribune Michel Sapin,  sans faire de différence entre le court et le long terme. "Nous ne prévoyons pas de maintenir des abattements exonérant le fruit de ces placements", avait-il poursuivi. Ces propos, synonymes de durcissement de la fiscalité de l'assurance-vie, avaient été mal accueillis par les assureurs, qui y voyaient une atteinte à ce placement adopté par 17 millions de ménages français.
Déjà l'an dernier, ce support d'épargne était la cible d'une taxe dans le cadre de la réforme sur la fiscalité du patrimoine. Par un lobbying appuyé, le Landerneau de l'assurance avait fait en sorte que ce projet soit éventé. Le lobby des assureurs aurait bien pu frapper à nouveau...

 

 

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