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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 08:21

Il perd complètement les pédales et la tête ce Sarkozy, De Gaulle doit se retourner dans sa tombe, quant il doit voir que la cinquième République tourne au nazisme, où Hitler, Staline s'invite dans la campagne de Sarkozy de MLP.

 

La droite du Gaullisme, pondérée parfois sociale a disparue complètement du champ politique de la cinquième République, les UMP et le FN s'uniraient pour faire un grand parti plus extrême que la droite peut l'imaginer ? C'est on dirait le souhait de Sarkozy qui aimerait récupérer la notoriété du FN. Comme cela avait commencé en 1936 avec Hitler.

 

Sarkozy né de parent Juif Hongrois serait-il prêt à porter l'étoile Jaune, à monter dans un train pour un camp de concentration ? Ou serait-il prêt à engager une guerre type celle de la seconde guerre mondiale ? On se le demande vraiment, il est grand temp de la stopper dans sa reconversion à cet idéologie nazie, pour qui tant d'hommes et de femmes sont morts pour notre liberté, notre égalité notre Fraternité.

 

Résistance Résistance proclame Mélenchon quio a déjà prévenu où cette politique des extrême financière, capitaliste, scandaleuse allait nous guider, si nous ne stoppons cette politique néo libérale, qui tant à briser les peuples à les reconduire à l'esclavage... Attention commencez de suite par virer Sarkozy de la politique le 6 mai.

 

 

«Pétain», «Hitler», «Staline» : cette semaine où la campagne a dérapé

T.d.L. et N.A. | Publié le 27.04.2012, 12h42 | Mise à jour : 22h53

Le 24 octobre 1940, le maréchal Pétain et Adolf Hitler se rencontrent dans la gare de Montoire-sur-le-Loir (Loir-et-Cher). Plus de 72 ans après, les références douteuses à cette période sombre de l'histoire pullulent dans la campagne présidentielle.
Le 24 octobre 1940, le maréchal Pétain et Adolf Hitler se rencontrent dans la gare de Montoire-sur-le-Loir (Loir-et-Cher). Plus de 72 ans après, les références douteuses à cette période sombre de l'histoire pullulent dans la campagne présidentielle. | D.R.
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Dérapages verbaux, allusions, comparaisons... Depuis les résultats du premier tour, les références au nazisme, au pétainisme, au fascisme ou au stalinisme se mutiplient à grande vitesse dans la campagne

Sur fond de score record du (17,9%), et de seconde jeunesse du Parti grâce aux résultats de Jean-Luc Mélenchon (11,1%),, arrivé en deuxième position face au favori socialiste, entreprend de reconquérir l'électorat FN. Accusé de sortir du champ républicain par ses adversaires,  le président sortant s'est insurgé, jeudi soir sur France 2, d'être comparé à Hitler, Franco ou Pétain. Mais dès vendredi matin, Jean-Luc Mélenchon lui a reproché d'employer des expressions du maréchal Pétain et de Pierre Laval, chef du gouvernement de 1942 à 1944... En fin de journée, en meeting à Dijon, le président sortant a contre-attaqué en faisant référence aux années noires du communisme : «Depuis lundi, mon projet serait devenu extrémiste. Depuis lundi, c'est un déchaînement, j'aurais durci et extrémisé mes propos. C'est un procès stalinien comme à la belle époque !» 

Le tweet d'un élu parisien, la Une de l'Humanité

En invoquant la valeur travail et en mettant le projecteur sur l'immigration au lendemain du premier tour, Nicolas Sarkozy s'est attiré cette semaine de nombreuses accusations plus ou moins implicites de dérive idéologique. Le maire PS du 14e arrondissement de Paris, Pascal Cherki, a ouvert les hostilités mardi 24 avril au soir, en publiant ce tweet : « Au rythme où il va Sarkozy va terminer la campagne en réclamant l’annexion des Sudètes et de Dantzig et va déclarer la guerre à la Pologne. ». Devant le tollé suscité à droite, il l'a finalement supprimé : «Mon intention n'était pas de comparer NS à Hitler. Puisque mon tweet à été interprété de la sorte je le retire.», a-t-il finalement lancé. «On n'est pas durant la Seconde guerre mondiale, c'est faire offense aux personnes qui en ont été victimes. Convoquer ces images est scandaleux et honteux», a dénoncé le député UMP des Alpes Maritimes Eric Ciotti.



 

Mais la chasse aux voix du FN dans laquelle s'est lancée Nicolas Sarkozy lui a valu une nouvelle attaque dès le lendemain, en une du quotidien « l'Humanité ». Sur fond bleu, il apparaît aux côtés du maréchal Pétain, sous le titre « Le Raid de Sarkozy sur le 1er Mai ». Le quotidien rapproche les termes de Nicolas Sarkozy sur « le vrai travail » et la devise de Philippe Pétain, « Travail, famille, patrie ». Il dénonce également « une OPA sur les voix du FN » et un « discours aux relents pétainistes ». « Je veux dire la stupidité de ceux, je pense à un journal, L'Humanité, qui m'accusent de fascisme parce que je veux parler à ces six millions et demi de Français », s'emporte le lendemain Nicolas Sarkozy sur France Inter.

 

Jeudi, c'est Henri Guaino, soucieux de vouloir défendre le candidat Sarkozy, qui a cédé à la tentation. Invité des « 4 Vérités » sur France 2, il s'est insurgé contre « cette sinistre page de L'Humanité où on mettait un portrait de Pétain et de Nicolas Sarkozy. C'est absolument lamentable comme présentation. Ce n'est pas parce que le maréchal Pétain a parlé un jour de la famille, de la patrie et du travail, qu'il ne faut plus parler du travail, de la famille et de la patrie.  (...). Vous savez comment s'appelait le parti du chancelier Hitler ? Ça s'appelait le parti national-socialiste. Faut-il dès lors ne plus jamais parler de socialisme ? » 



Jeudi soir, sur France 2, Nicolas Sarkozy a déploré les propos d'un député UMP ayant trouvé de bon goût de rebaptiser la compagne de François Hollande Valérie « rottweiler », mais en a profité dans la foulée pour suggérer à son rival de « condamner » quand « tel ou tel de ses soutiens (le) compare, selon qu'il soit modéré ou agité, à Hitler à Franco ou à Pétain ». 

Sarkozy accusé de piocher dans les mots de la Collaboration

La polémique aurait pu s'arrêter là. Mais c'était sans compter sur Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche), connu pour son franc-parler, qui s'est insurgé aux aurores ce vendredi sur France Inter face au vocabulaire utilisé dernièrement par Nicolas Sarkozy. « La phrase qui consiste à dire se faire traiter de fasciste par un communiste est un compliment (prononcée jeudi par Nicolas Sarkozy : NDLR) est une reprise mot pour mot de Pierre Laval le collabo, de la même manière que parler de fête du travail et dire que c'est le vrai travail, c'est mot pour mot le texte de l'affiche du Maréchal Pétain en 1941 », assure l'ex-candidat à la présidentielle (11,1%). « Lui, il sort des mots, des phrases, des expressions qui sont directement tirés de la collaboration, pourquoi le fait-il? A qui parle-t-il? A qui veut-il inoculer ce poison? », demande Jean-Luc Mélenchon, pour qui il est de « salubrité publique » de faire battre Nicolas Sarkozy. 



Nathalie Kosciusko-Morizet, porte-parole du président-candidat, a demandé à François Hollande de condamner formellement les déclarations de son «allié d'extrême gauche». Endossant le rôle de l'arbitre, le candidat PS n'a pas condamné Mélenchon, s'estimant responsable de ses «propres propos». Il a néanmoins pris ses distances avec le leader du Front de Gauche : «Le mieux, c'est de rester dans l'actualité, en évitant de nous replonger dans des périodes de notre Histoire que les uns et les autres nous n'avons pas envie d'exhumer.» Et donné un conseil à Nicolas Sarkozy : «Il convient que d'autres fassent attention aux mots qu'ils utilisent. Je ne parle pas de Jean-Luc Mélenchon. Il y a des mots qui ont été utilisés dans le passé et qu'il vaut mieux ne pas reprendre. Quelquefois c'est par inadvertance. Quand il a été question du vrai travail».

Des dérapages avant le premier tour

La première référence au nazisme dans cette campagne avait visé François Hollande. Jacques Béhagues, député UMP, avait ainsi publié mi-mars, sur son blogun billet rendant François Hollande coupable de pratiquer l'apologie de la haine d'une population, les «riches», le comparant directement à Mussolini et Hitler. L'élu a depuis reconnu la publication de ce billet tout en niant en être l'auteur.
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28 avril 2012 6 28 /04 /avril /2012 10:07

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François Hollande possède une marge de 10 points sur N.Sarkozy dans les intentions de vote pour le second tour de l'élection présidentielle en France en raison notamment d'un bon report de voix des électeurs ayant voté pour le centriste F.Bayrou au premier tour, selon un sondage Harris un sondage inter active publié vendredi 27 avril.

Cette enquête, pour VSD et LCP, donne le candidat socialiste vainqueur, le 6 mai, avec 55 % des voix, contre 45 % au président sortant. Le rapport était de 54 % contre 46 % pour le même institut au soir du premier tour, le 22 avril.

92 % DES MÉLENCHONISTES POUR HOLLANDE

M. Hollande bénéficierait, selon cette même enquête, de 41% des suffrages des électeurs ayant voté pour François Bayrou au premier tour, contre 36 % qui disent qu'ils voteront Nicolas Sarkozy, et 23 % qui pensent 'abstenir ou voter blanc.

Les électeurs de Marine le Pen, très courtisés après les 17,9 % des suffrages recueillis au premier tour par la présidente du FN, sont 48 % à dire vouloir voter Nicolas Sarkozy, 31 % à avoir l'intention de s'abstenir ou voter blanc blanc ou nul, et 21 % à  voter F.Hollande.

Quant aux électeurs ayant voté au premier tour pour le candidat du Front de gauche, J.L.Mélenchon, ils sont 92 % à dire qu'ils voteront pour le candidat socialiste.

Cette enquête a été réalisée sur Internet les 25 et 26 avril auprès d'un échantillon de 1 032 personnes inscrites sur les listes électorales, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, choisi selon la méthode des quotas.

 

ATTENTION IL FAUT ABSOLUMENT DEGAGER SARKOZY LE 6 MAI LUI QUI DEPUIS CINQ ANS ENTRAÎNE LA FRANCE DANS POLITIQUE CAPITALISTE QUI DETRUIT NOS STRUCTURES, DEPUIS CINQ ANS IL A ENGENDREE UNE POLITIQUE EXTRÊME DROITE DANGEREUSE FACISTE XENOPHOBE RACISTE DICTATORIALE COMME EN L'ALLEMAGNE EN 1936 AVEC H..., CELA N'AURA RIEN D'ECONOMIQUEMENT POSITIF SUR VOTRE  POUVOIR D'ACHAT l'EMPLOI OU VOTRE VIE FAMILIALE, SOCIALE, CULTURELLE, ENCORE MOINS SUR L'EDUCATION DE VOS ENFANTS SARKOZY EST EN TRAIN DEPORTER LA DROITE AUX EXTREMES NATIONALISTES IL N'Y A PLUS DE DIFFERENCE ENTRE L'UMP ET LE FN.

ALORS DEGAGEONS SARKOZY MASSIVEMENT LE 6 MAI 2012 NOUS N'AVONS PAS D'AUTRE SOLUTION...


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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 00:00
L'essor des mouvements populistes en Europe
  o Geert Wilders.

Leur percée aux Pays-Bas, en Suède ou en Hongrie confirme la poussée d'une nouvelle forme de droite radicale, qui se nourrit de la peur de l'autre et du rejet des élites.

Qu'entend-on par mouvements populistes ?

Il y a, en fait, trois types de phénomènes. Le premier, sur le déclin, présente des éléments de continuité avec l'extrême droite la plus traditionnelle. Tous les partis qui n'ont pas réussi à se moderniser dans leur idéologie et dans leurs méthodes sont aujourd'hui des partis relativement marginaux, comme en Espagne et au Portugal. Ensuite, il y a des mouvements plus modernes qui ont réussi leur enracinement. Je pense au Front national français ou au Wlaams Belang flamand, des mouvements mixtes, ayant des traits de continuité avec les extrêmes droites passées, et certaines adaptations, au moins sur la forme.

Et le troisième type ?

La troisième catégorie, qui commence à poser un problème de classification aux politologues, c'est ce que j'appelle les droites populistes xénophobes radicalisées. Je pense aux partis qui n'ont aucune racine dans l'extrême droite traditionnelle, qui sont des excroissances droitières de partis de la droite conservatrice ou libérale existante. C'est le cas du phénomène Geert Wilders aux Pays-Bas. On se méprendrait sur la nature du phénomène en classant M. Wilders parmi les politiques d'extrême droite. C'est un libéral qui a rompu avec le VVD, le parti libéral néerlandais, pour créer sa propre formation.

Sur quelles thématiques ces formations s'appuient-elles?

Quand on regarde les partis danois, norvégien, l'UDC Suisse, la formation de Geert Wilders, qu'est-ce qui fait sens ? C'est le refus du multiculturalisme, de l'immigration extra-européenne, avec une focalisation non pas sur l'islamisme, mais sur l'islam en tant qu'il serait incompatible dans son essence même avec le progrès européen. Et puis c'est ensuite une dénonciation des élites, supposées coupées du peuple, qui ne comprennent pas l'angoisse de la perte de certaines valeurs. Ce qui est intéressant chez Wilders, c'est qu'il se bat contre l'immigration extra-européenne et l'Islam, non pas au nom de valeurs hyper conservatrices voire réactionnaires, mais au nom de valeurs libérales.

Par delà les distinctions, ce mouvement général vous inquiète-t-il ?

Ce qui m'inquiète, c'est l'influence de ces partis sur le centre de gravité du débat politique, notamment en matière d'identité et d'immigration. C'est très clair. Même lorsqu'ils ne parviennent pas aux portes du pouvoir, ces partis influencent l'agenda politique des partis de la droite libérale et conservatrice. La seconde chose qui m'inquiète, c'est le fait que certaines de ces formations ont réussi à totalement se normaliser.

 

Mais en France sous le pouvoir Sarkozy nous en sommes si proches, avec les lois sur la sécurité, l'identité nationale, la dénationalisation des citoyens, la création de la haine raciale qui s'établit avec les Roms... tout cela rappelle trop les années de guerre sous le régime nazi...

 

Attention, ne nous laissons pas manipuler par ce régime totalitaire Sarkozien, car nous subirons les mêmes douleurs atroces, de camps de concentration de torture, de mort. 

 

Recueilli par Laurent MARCHAND.
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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 01:54
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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 10:09
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20 avril 2012 5 20 /04 /avril /2012 06:09

 

POLITIQUE -  le 19 Avril 2012

 

Le meeting du Front de gauche Porte de Versailles, en textes et images

 

 

Le Front de gauche a investi le Parc des expositions de la Porte de Versailles, à Paris, pour son dernier grand meeting de campagne, devant plus de 60 000 militants. La rédaction d'Humanite.fr vous faire vivre et revivre ce grand évènement, en textes et en images.

Appel de fin de meeting de Jean-Luc Mélenchon : "Camarades, je ne sais pas de quoi sera fait dimanche soir. Mais vous savez quel est votre camp ! Le Front de gauche est votre outil. Il est devenu petit à petit le Front du peuple lui même, il est plus grand que nos drapeaux, que nos partis, que notre programme lui même. C'est le peuple, et s'il comprend qu'il est en mouvement, rien ne peut lui résister ! Sur mon honneur, jamais je me dédierai du drapeau que vous m'avez confié. Ni a vendre, ni à acheter, ni à domestiquer ! J'appelle tous mes amis, et tenons nous par la mains, comme nous le faisons lorsque nous chantons l'Internationale ! Résistance !"

Vers 19h45, et écouté avec attention, Jean-Luc Mélenchon prend la parole. Éclats de rire quand il est dit "les rats quittent le navire, c'est l'appel de la gamelle" en référence aux ralliements des ex-soutiens de Sarkozy. Applaudissements, lorsque le candidat du Front de gauche affirme: nous créons un chemin nouveau qui balaie les tenants de l'austérité"

"La France s'est réveillée, un monde va s'écrouler, le feu a pris à la plaine et leur grille les fesses !  Le peuple qui a voté non en 2005 est encore là et réclame son du ! Le peuple qui a défendu bec et ongles son immense conquête, cet acquis de civilisation qu'est la retraite à 60 ans et qui ira la récupérer avec des fourches s'il le faut.

Il faut comprendre ce que nous sommes en train de faire. Ce n'est pas seulement un peuple qui veut se débarrasser d'un dirigent. Ce n'est pas que pour nous que nous nous battons. En nous débarrassant en Sarkozy, nous allons aussi débarrasser l’Europe de l'axe Merkozy, qui a pris les peuples à la gorge. Ça commence par nous, et l'an prochain ce sera au tour des Allemands ! Nous allons ouvrir tous ensemble un chemin nouveau qui balayera l'Europe des souffrance et de l'austérité. Et vous êtes l'avant-garde de ce mouvement.

Quelque soit le prochain président de la république, la finance est prête à attaquer. Face à cette agression il n'y a que deux possibilités : résister ou capituler. Nos frères et nos sœurs grecs se sont serrés la ceinture, ils ont tout vendu, tout perdu et au final, Rien : Il faut résister, rendre les coups ! Comme disait Makiavel : « la meilleure forteresse des tyrans, c'est l'inertie des peuples », alors il faut nous battre ! Et nous devons commencer par nous débarrasser de Nicolas Sarkozy. Mais surtout il faut faire sauter le verrou des LePen ! Qui bloquent le débat politique par la peur ! C'est l'union du peuple travail autour d'une direction politique et autour des mouvements sociaux qui peut vaincre."

"Nous avons la possibilité de financer l'intégralité du programme Humain d'abord. L'irréalisme est de l'autre côté. L'argent y est ! Avec les 1000 milliards prêtés aux banques privées par la BCE, il y avait de quoi solder plusieurs fois la dette grecque.

Partout en Europe on regarde ce que va faire la France. Si vous nous donnez les moyens de passer devant le Front National, vous ferez une bonne action non seulement pour la France, mais aussi pour toute l'Europe. A ce qui hésitent, je le dis, c'est nous qu'il faut aider. J'adjure tous ces journaux qui se disent de gauche, d'imiter plutôt l'Humanité que l'Expresse, et d'arrêter de nous tirer dans le dos ! Le vote utile, pour soi et pour toute l'Europe, c'est le Front de Gauche. Et le niveau du vote du Front de Gauche, c'est l'indicateur du trouillomètre de la droite ! Et plus la droite a peur, plus ils en lâchent ! Plus nous serons fort dans les urnes, plus vous serez fort dans votre entreprise !

Quand on est de gauche et qu'on arrive au pouvoir, on commence par augmenter les petites payes. Parce que survivre, ce n'est pas un projet de vie ! Partout en Europe l'espérence de vie diminue ! Ici en France, l'espérance de vie en bonne santé a baissé d'un an ! Voilà le bilan de Sarkozy et des larbins du capitalisme !"

 

Camarades, je ne sais pas de quoi sera fait dimanche soir. Mais vous savez quel est votre camp ! Le Front de gauche est votre outil. Il est devenu petit à petit le Front du peuple lui même, il est plus grand que nos drapeaux, que nos partis, que notre programme lui même. C'est le peuple, et s'il comprend qu'il est en mouvement, rien ne peut lui résister !

Sur mon honneur, jamais je me dédierai du drapeau que vous m'avez confié. Ni a vendre, ni à acheter, ni à domestiquer !

 

Pierre Laurent, secrétaire général du PCF, président du conseil national de campagne du Front de gauche : "Je veux dire, ce soir, à toutes celles et à tous ceux qui font la force de cette campagne, sa belle et magnifique énergie, je veux leur dire bravo. A tous du fond du cœur, je vous dis bravo. [...] Allez voter tels des citoyens libres et égaux en droits. Allez voter pour vos idées ! Allez voter pour reprendre le pouvoir. Allez voter, libres, en femmes et en hommes libres, dimanche pour Jean-Luc Mélenchon. [...] Oui, prenez le pouvoir, nous l'avons voulu, vous l'avez fait. Et aujourd'hui, grâce à vous, tout a changé. Une à une, nous avons ouvert les portes à des propositions que les autres candidats voulaient ignorer. Des propositions que pourtant la grande majorité des Français met en tête de leurs priorités. C'est vous qui avez imposé l'ordre du jour de cette campagne ! Oui, je l'affirme, rien ne se fera sans vous ! Vous avez commencé à reprendre la main, eh bien maintenant, ne lâchez rien ! Oui, amis et camarades, poussez les portes du changement, ouvrez-les les plus grandes possibles pour que le 22 avril tout ne s'arrête pas mais que tout commence ! Vive le Front de gauche ! Vive ce nouveau Front populaire qui rendra le changement irréversible ! "

Martine Billard, co-présidente du parti de gauche a pris ensuite la parole : 
"
Il nous faut une 6ème République, sociale, écologique avec une nouvelle constitution, où seront inscrits de nouveaux droits : droit à l'IVG remboursé, droit de mourir dans la dignité, le refus du racisme et de toutes les discriminations, de nouveaux droits pour les travailleurs : interdiction des licenciements boursiers et droit de veto pour les CE. Mais aussi le refus de la compétition entre les régions et cela nécessite que la loi s'impose de la même façon à tous les citoyens, dans toutes les entreprises, dans tous les territoires, que ce soit en droit du travail ou pour la laïcité. Nous avons aussi besoin d'une 6ème République qui en finisse avec la monarchie présidentielle et l'affairisme de Sarkozy et sa bande. [...] Il faut remettre l'Humain au centre, l'Humain d'abord. Et pour cela, dimanche On vote convictions On vote Mélenchon !"

Christian piquet, animateur de la coordination nationale du Front de gauche, accueille les spectateurs. "Grâce au Front de gauche, la gauche, est en train de redevenir le camp du travail et des travailleurs. Grâce au Front de gauche, parce que nous faisons progresser la gauche tout entière, il va être possible de dire, le 6 mai, à Monsieur Sarkozy : Vous et vos petits marquis de l’UMP, du balai !"

En fond de salle, un drapeau tricolore est brandi par des gens venus du 93, "sans carte ni parti", venus montrer que "la France c'est nous"

18h50 : le meeting va commencer

Nombre de familles sont venues écouter le meeting

18h30 : Flot incessant à l'entrée du parc des expositions. La plupart des gens croises viennent d'ile de france mais certains viennent de plus loin, comme Michel, du Var.

18 heures : ouverture des portes
(vidéo à lire en 240p si problème) 

 

 

Dans les coulisses du hall 1, le pôle vidéo du Front de gauche qui diffuse les images du meeting, à voir dès 19h sur humanité.fr

Des distributeurs de pancarte "pour une VIe république attendent l'ouverture des portes.


Sur les côtés de la salle, quelques centaines de chaises. Mais la foule du Front de gauche sera debout, comme à Marseille, Toulouse, Vierzon, Limoges, Nantes, Lille ... 

17h30, avant l'ouverture des portes du parc 1 : 60 000 personnes pourront vivre le meeting.

17 heures : les portes du Parc de Versailles n'ouvrent que dans une heure. Mais déjà les premiers participants au meeting font la queue devant les grilles

Textes et images, Pierric Marissal, Raymond Kargar et Stéphane Guérard

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18 avril 2012 3 18 /04 /avril /2012 08:16
LE SMIC A 1700 EUROS C'EST POSSIBLE

PARMI LES NOMBREUSES MESURES PROPOSEES PAR LE FRONT DE GAUCHE, IL EN EST UNE QUI FAIT REAGIR PARTICULIEREMENT : LE SMIC A 1700 EUROS. ET DE MANIERE GENERALE, QU4IL EST GRAND TEMPS D'AUGMENTER LES SALAIRES. CA NE SERAIT PAS POSSIBLE NOUS DIT-ON... VOYONS CELA :
 

Le SMIC à 1700 euros
Aujourd’hui, le SMIC est à 1365 euros brut, soit 1070 net/mois. Si le Front de Gauche arrive au pouvoir, il le passera à 1700 euros brut en début de législature, puis 1700 net en 2017. Or, quand on écrit cela, on nous réplique : « Dans ce contexte de crise, comment feront les petites entreprises pour supporter cette augmentation ? Comment faire alors que l’Etat est en faillite ? Vous n’y pensez pas, dans un monde ouvert il faut être compétitif ! ». Si on veut être crédible, voilà les questions auxquelles il faudra répondre. J’essaye ici, d’apporter six éléments de réponse.

Premièrement, on nous a déjà fait le coup
A chaque fois que la gauche a arraché quelque chose dans ce pays, la droite disait : « Ce n’est pas possible ! ». On nous taxait d’utopistes. C’est vrai que ça devait faire rêver. Imaginez un peu, donner le droit pour les ouvriers de toucher un salaire sans travailler ou le droit de partir à la retraite avant la mort. Infaisable nous disaient-ils. Pourtant, les congés payés et la retraite à 60 ans ont été arrachés de dure lutte. Finalement, c’était possible non ? Vous avez-vu ? A chaque fois que le peuple veut faire progresser la société, la rendre plus juste, la droite le taxe d’archaïques, de menteurs ou même d’idiots. Il faut faire de la pédagogie disent-ils. Ne nous arrêtons pas à ca. Nous on peut je vous ai dit !

Deuxièmement, un peu d’humanisme
A ceux qui nous disent que le SMIC à 1700 euros, ça ne tient pas la route, nous devons leur rétorquer la question suivante : « est ce que ça tient la route une société où on demande aux salariés de vivre avec 1000 euros par mois ? Aujourd’hui, le SMIC, c’est 120 euros de plus que le seuil de pauvreté. Ça tient la route ca ? Peut on vivre décemment, se soigner, se loger, s’instruire avec 1000 €/mois ? » On l’a vu plus haut, notre pays n’a jamais été aussi riche. La richesse est le produit du travail collectif de la société toute entière. Nous avons le devoir moral de mieux repartir la richesse produite par tous. Nous le devons.

Troisièmement, les TPE PME
Aujourd’hui, 80% des salariés sont dans des TPE et PME. Ce sont elles qui font tourner l’économie et non nos « champions nationaux » du CAC40. Ça tombe bien, les petites et moyennes entreprises seront les grandes bénéficiaires d’une augmentation générale des salaires, et cela pour 2 raisons. Tout d’abord, aujourd’hui, ce ne sont pas les petites entreprises qui se gavent de dividendes, ce sont les entreprises du CAC40 qui, paradoxalement, sont proportionnellement beaucoup moins imposées. En 2011, l’entreprise Total, avec 10 milliards de bénéfices, n’a pas versé un euro au titre de l’impôt sur les sociétés. En moyenne, les entreprises de moins de 9 salariés sont taxés à 30%, les entreprises du CAC40 le sont seulement à 8%. Donc, si on taxe les revenus du capital pour augmenter les salaires, cela se fera forcement au profit des petites entreprises. CQFD ! Par ailleurs, ce qui fait tourner les entreprises, ce n’est pas le fait qu’elles doivent payer plus ou moins de « charges ». Ce qui compte, c’est le carnet de commande. Dans cette optique, une augmentation des bas salaires fera respirer l’économie. Car, les salaires des classes populaires vont forcément à un moment ou un autre, se retrouver dans la consommation et ainsi faire tourner l’économie réelle (ce qui n’est pas le cas des hauts revenus qui partent bien souvent dans la bulle spéculative. Au total, moins de 2% des des opérations financières financent des opérations économiques réelles). En augmentant les bas salaires, on rentre ainsi dans un cercle vertueux dont vont forcément bénéficier les entreprises :

Augmentation des salaires -> consommation -> le commerce repart -> le carnet de commande se remplit -> hausse du chiffre d’affaire -> l’augmentation des salaires n’est plus un problème.

Augmenter les salaires fera respirer l’économie. C’est la seule issue pour sortir de la crise. L’autre politique possible, c’est l’austérité, et on voit bien le résultat.

Quatrièmement, la mondialisation n’est pas un problème
« Mais alors, les prix vont augmenter. Du coup, les consommateurs vont acheter les produits chinois, ou les fraises espagnoles. On est dans un monde ouvert bla bla bla… ». Tout d’abord, les TPE PME sont moins ouvertes à la concurrence que ce qu’on dit. Il faut arrêter avec le mythe du plombier Polonais. De plus, pour résister à la pression internationale sur le coût du travail, la réponse politique est simple : il faut se protéger. Et, plutôt que de privilégier des formes de protectionnisme unilatérales qui pourrait se transformer en protectionnisme nationaliste, il faudra plutôt œuvrer pour la mise en place d’un système de protectionnisme international multilatéral. Aujourd’hui, l’OMC puni les états qui ne respectent pas bien les règles du libre échange. Si on a réussit à mettre cela en place, on peut tout aussi bien en changer les règles. En attendant, pour résister aux agressions, nous ne nous interdirons pas de mettre en place au niveau européen mais aussi au niveau national, une certaine forme de protectionnisme social et écologique. Cela pourra passer notamment par la mise en place d’une taxe kilométrique qui permettra de taxer plus lourdement les produits qui viennent de plus loin : convergence sociale et écologique qui favorise aussi le commerce transfrontalier. Bref, pour mettre en place ces mesures, nous devront sortir d’un certain nombre de dispositions du traité de Lisbonne dont la pierre angulaire est la concurrence libre et non faussée. Si le peuple nous en donne le mandat, nous le ferons.

Enfin, certains disent qu’il faut demondialiser (Sapir, Montebourg), d’autres disent qu’il faut du protectionnisme (Todd), ou d’autres encore qu’il faut décapitaliser (P. Laurent). Derrière le vocabulaire, l’idée est là : les ouvriers du monde entier ne doivent pas être mis en concurrence les uns avec les autres pour faire pression sur les salaires. La mondialisation n’est pas un problème insoluble. Les gouvernements se sont auto infligés des règles dogmatiques pour servir les intérêts de quelques uns. Il n’y a pas de lois naturelles en économie, ce sont bien les gouvernements les maitres d’œuvre. Un gouvernement qui veut changer ces règles, le peut. Nous nous sommes mis des menottes en plastiques qu’on peut décider de briser à tout moment.

Cinquièmement, nous avons des marges de manœuvre budgétaires
Quoi qu’en disent les declinistes qui ne cessent de clamer haut et fort que l’état est en faillite, si on reprenait les 10 points qui sont passées des poches du travail a celles du capital en 25 ans, cela rapporterait 195 milliards d’euros par an. Je rappelle que le service de la dette qui nous effraie tant ne représente que 50 milliards par an. L’état a de quoi assurer la transition pour aider les entreprises en difficulté, notamment en favorisant le développement de l’économie sociale et solidaire. Les seuls perdants dans tout ça, seront ceux qui gagnent leur argent en dormant, ceux qui spéculent et qui ruinent la France en s’accaparant injustement les richesses.

Sixièmement, et sinon, vous proposez quoi d’autre ?
Mais ceux qui ne sont pas convaincues et qui veulent continuer comme aujourd’hui, on ne peut que leur dire qu’une chose : à la fin, c’est le peuple souverain qui décide. Le réponse à la crise, c’est le partage des richesses. Le partage est la seule stratégie crédible et plausible, et c’est une issue par le haut. Nous on propose la planification écologique, la 6e république, le partage des richesses… Et eux, l’austérité ? Montrez nous un endroit ou cette politique fonctionne ! Nulle part !

Nous on peut
« La meilleure forteresse des tyrans, c’est l’inertie des peuple » disait Machiavel. Le Front de Gauche est un outil et un programme que le peuple peut choisir de mettre en mouvement. Et, sachez le, si le peuple souverain le décide, tout ce qui est dans le programme du Front de Gauche sera appliqué ! La clef du succès, c’est l’implication populaire. Cela commence par chacun d’entre nous !

Épilogue : petit détour linguistique
Quelqu’un a attiré récemment mon attention sur l’origine du mot démocratie. Tout à fait éclairant, je reproduis ici, avec son autorisation, le contenu du mail qu’il m’a adressé.

Le nom Démocratie, est composé de deux mots: démos dont la traduction est “peuple” et kratein, qui renvoie à l’exercice d’une souveraineté. “Démos”, comme le français “peuple” peut désigner l’ensemble des citoyens, mais aussi par opposition aux “notables”, le petit peuple. C’est ce dernier sens que semble choisir Périclès lorsqu’il dit que les décisions dépendent ”de la majorité”, du plus grand nombre, car il est évident que le petit peuple forme cette majorité. “Kratein” est aussi un terme ambigu. Il implique l’idée de force (voir corporelle, de domination se distinguant du terme “arché” définissant l’exercice du pouvoir dans les autres forces politiques, par exemple: monarchie, et oligarchie. Que Périclès ai préféré “démocratie” à ”démarchie” est révélateur du sens à donner à ce nom, à savoir recours à la force populaire.

 

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17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 11:25

 

409159 3195532047419 1239485087 33560440 1890107937 nCommuniqué du 16/04/12

La Commission européenne s’attaque au SMIC

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La Commission européenne a pris un masque d'agneau pour faire le loup. Sous prétexte de suggérer des SMIC "pas trop bas", elle imagine de créer des SMIC  à géométrie variable suivant les branches d'activité. Autant dire "plus de SMIC du tout" et une législation sociale éclatée organisant la concurrence entre eux de tous les travailleurs. C'est le contraire qu'il faut faire : c'est un smic européen vers lequel il faut tendre par l'édiction de critères de convergences sociaux comme il y a eu des critères de convergences économiques.

Et en France il faut montrer l'exemple de la relance de l'activité en commençant par passer le SMIC à 1700 euros bruts.

 Mélenchon ne laissera pas si il est élu, soumettre la France à la dictature austéritaire Européenne, ni les salariés de France subir un salaire de misère au profit des capitalistes, patrons et actionnaires banquiers de tout poil. Il ne laissera pas la France perdre sa souveraineté nationale, économique et sociale au profit de ces mêmes néo libéraux capitalistes qui nous ont conduits dans cette crise financière, comme celle de 1929 qui aprrès bien des remaniements et ajustemrnts s'est terminée par la seonde guerre mondiale...

Nous avons la chance d'avoir pour une fois un candidats fort, capable de nous sauver du marrasme, un vrai politique expérimenté de la vraie gauche socialiste.

Ne le négligeons pas Dimanche éé aVRIL  portons le au second tour...

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14 avril 2012 6 14 /04 /avril /2012 08:38
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13 avril 2012 5 13 /04 /avril /2012 07:24

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LE DANGER D'UNE NOUVELLE ATTAQUE DE LA FINANCE CONTRE LA FRANCE 
 
Pendant que Sarkozy et Hollande se font des querelles de mots sur la finance, celle-ci vient de s'offrir un nouveau pouvoir considérable en France. Je condamne la création annoncée pour lundi 16 avril prochain d'un nouvel instrument spéculatif contre la dette française. Lancé par la bourse de Francfort sur le Marché européen des produits dérivés, ce "contrat à terme sur les obligations d'Etat françaises" va offrir des moyens considérables aux spéculateurs pour attaquer notre pays.

Ce nouvel instrument de faire de l'argent sur le dos de notre peuple a aussitôt été saisi par les banksters qui ont déjà déclenché la crise de 2008 aux USA puis celle de la dette en Europe, comme les banques anglo-saxonnes Morgan Stanley et Barclays Capital.

Face à ce nouveau coup de force de la finance contre notre pays, je m'étonne du silence de Nicolas Sarkozy et de son gouvernement pourtant si prompts à agiter la menace des marchés financiers contre la gauche.

J'invite François Hollande à prendre conscience du danger qui menace et à rejoindre ma stratégie de combat. Je préviens que si je suis élu, ces contrats seront interdits comme toutes les ventes à découvert et les CDS non adossés. Je préviens que des poursuites seront engagées contre ceux qui ont préparé ou facilité la mise en place de ces mesures contre les intérêts économiques fondamentaux de la nation (article 410-1 du code pénal).

 

 

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avr 1212
Permis de conduire, clip perché, tirs à vue, sondages étranges et autres amusements de campagne

Le président de l’Equateur m’encourage

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Ceci est un passage imprévu devant mon clavier. Je me ballade sans gravité d’un sujet à l’autre à mesure que je feuillete la presse. Je me suis en effet imposé un jour de repos. Et puis j’ai une nouvelle à donner : je viens de recevoir une lettre du président de la République de l’Equateur, Rafael Correa qui m’est parvenue via mon camarade Christophe Ventura. Sinon il est question du permis de conduire, d’un sondage étrange à propos de le percée de Le Pen dans la jeunesse, de Davina, du tir de barrage contre moi et même d’un clip un peu-beaucoup perché où je suis invité à prendre le pouvoir sur une chanteuse, ce dont il ne saurait être question. J’écris au fil du clavier en faisant des liens d’après les abondantes correspondances que je reçois. 

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avr 1209
« groupies », « adeptes », « supporters » : des journalistes conchient les citoyens

En marche pour Marseille

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Finalement je n’ai pas eu le temps de faire l’apprentissage de la technique qui m’aurait permis de faire des petites vidéos comme je l’avais prévu. Je reviens donc à mon clavier. Il sera question de ma semaine passée, de notre rassemblement de Marseille, de la semaine où le chiffrage de notre projet a été sur la sellette, et où vous avez été décrits dans la presse quotidienne écrite comme un ramassis de groupies autour d’une rock star de la politique.

En illustration de ce billet des images prises à Toulouse la rouge le 5 avril : un film « time laps » de 13 000 photos de la place du Capitole, prises de 3h du matin à 23h le soir, puis des portraits de participants rassemblés, attentifs et heureux. Film : Eric Delion. Photos :Stéphane Burlot.

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avr 1203
Vierzon, Limoges, Toulouse

En marche vers le Capitole

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grignyQuand aurais-je de nouveau l’occasion de me retrouver devant ce clavier ? J’ai derrière moi déjà tant de jours sans trêve ! Mais de si beaux moments aussi. Un tunnel d’activité m’attend ! Trois jours sur les routes puisque je vais aller à Vierzon, Limoges et enfin place du Capitole à Toulouse. Puis j’enregistre les clips de campagne. Deux émissions de télé et… la semaine suivante sera déjà là. La cadence est rude. Mais inévitable. J’en déduis que le temps d’écrire va encore se réduire. Je prévois donc un changement provisoire de ma façon de m’exprimer sur ce blog. Puisque je n’aurai pas le temps d’écrire, je vais peut-être faire une « pastille vidéo » régulière. Je ne sais pas encore à quelle cadence. Et je regarde encore comment faire pour ne dépendre de personne pour le réaliser. Mon fidèle webmestre m’accompagnera dans cette nouvelle aventure. Son formidable travail de modération de cette agora qu’est devenu ce blog s’exercera dans un cadre nouveau.

En illustration de ce billet des images de la rencontre, dans un gymnase dimanche 2 avril dernier, entre Jean-Luc Mélenchon et une centaine d'habitants du quartier de la Grande Borne à Grigny dans l'Essonne. Photos : S. Burlot.

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